mardi 30 janvier 2024

 

Exigeons la mise en œuvre par l'Etat d’Israël des décisions de la Cour Internationale de La Haye 

du 26 janvier 2024


Les décisions de la Cour Internationale de Justice de La Haye, en réponse à la requête de l'Afrique du Sud, et rendues publiques en ce 26 janvier 2024, 

comportent les mesures conservatoires suivantes :


"Par ces motifs, la Cour indique les mesures conservatoires suivantes.

1- par 15 voix contre 2, l'Etat d'Israël doit, conformément aux obligations lui incombant au titre de la convention pour la prévention et la répression du crime de génocide, prendre toutes les mesures en son pouvoir pour prévenir la commission, à l'encontre des palestiniens de Gaza, de tout acte entrant dans le champ de l'article 2 de la convention en particulier les actes suivants :

a- meurtre de membres du groupe
b- atteinte grave à l'intégrité physique ou mentale de membres du groupe
c- soumission intentionnelle du groupe à des conditions d'existence devant entraîner sa destruction physique, totale ou partielle
d- mesure visant à entraver les naissances au sein du groupe

2- par 15 voix contre 2, l'Etat d'Israël doit veiller avec effet immédiat à ce que son armée ne commette aucun des actes visés au point 1 ci-dessus.

3- par 16 voix contre 1, l'Etat d'Israël doit prendre toutes les mesures en son pouvoir pour prévenir et punir l'incitation directe et publique à commettre le génocide à l'encontre des membres du groupe des palestiniens de la bande de Gaza.

4- par 16 voix contre une, l'Etat d'Israël doit prendre sans délai des mesures effectives pour permettre la fourniture des services de base et de l'aide humanitaire requis de toute urgence afin de remédier aux difficiles conditions d'existence auxquelles sont soumis les palestiniens de la bande de Gaza.

5- par 15 voix contre 2, l'Etat d'Israël doit prendre des mesures effectives pour prévenir la destruction et assurer la conservation des éléments de preuve relatif aux allégations d'actes entrant dans le champ d'application des articles 2 et 3 de la convention pour la prévention et la répression du crime de génocide commis contre les membres du groupe des palestiniens de la bande de Gaza.

6- Par 15 voix contre 2, l'Etat d'Israël doit soumettre à la cour un rapport sur l'ensemble des mesures qu'il aura prise pour donner effet à la présente ordonnance dans un délai d'un mois à compter de la date de celle-ci."

 

Pour le Mouvement de la Paix, les décisions de la CIJ sont un encouragement à poursuivre les pressions sur le gouvernement français pour qu'il agisse auprès des dirigeants israéliens mais aussi pour demander au président de la République française de reconnaitre sans tarder l'Etat de Palestine conformément au vœu émis par le Parlement français.

Le gouvernement qui préside tout le mois de janvier le conseil de sécurité doit agir aussi à ce niveau pour la mise en œuvre concrète des décisions de la CIJ.

Le Mouvement de la Paix appelle à développer les actions à tous les niveaux pour que l'Etat d’Israël applique immédiatement les décisions de la CIJ, ce qui implique l'arrêt immédiat des bombardements des populations civiles de Gaza.

A Paris, le vendredi 26 janvier 2024

Le Mouvement de la Paix

 27 janvier, journée mémorielle et combative en mémoire des victimes de l’holocauste


Le 27 janvier est la journée internationale dédiée à la mémoire des victimes de l'holocauste. Comme l'indique le site du conseil de l 'Europe "L'Holocauste est le nom donné à l’exécution systématique de six millions de Juifs par le régime nazi et ses alliés pendant la Seconde Guerre mondiale. Outre les juifs, d'autres groupes ont été persécutés en raison de ce qui était perçu comme leur infériorité raciale et biologique. Ainsi, les Roms, les handicapés, les prisonniers de guerre soviétiques et les homosexuels. D'autres, tels que les Témoins de Jéhovah, les socialistes et les communistes, ont été ciblés en raison de leurs croyances religieuses ou opinions politiques"..
En cette  journée nous devons rappeler une fois encore la déclaration universelle des droits de l’Homme qui stipule que: « chacun peut se prévaloir de tous les droits et de toutes les libertés sans distinction aucune, notamment celles fondées sur la race, sur la religion ou sur toutes autres conditions »

Il nous faut également garder à l’esprit  le principe fondateur de la Charte des Nations Unies 
qui est de préserver les générations futures du fléau de la guerre et d’agir pour éviter le renouvellement de nouveaux génocides  tels que celui commis par le régime nazi contre les juifs ainsi que les autres génocides (arméniens, tutsis..).

Si ce 27 janvier se doit de perpétuer la mémoire et condamner tout déni de l’holocauste, il doit également nous permettre de condamner, une nouvelle fois, toutes les manifestations d’intolérances, d’incitation à la haine, ou le
s violences à l’égard des personnes ou des communautés en raison de leur appartenance ethnique ou de leurs croyances.

           

Comma l'a dit le secrétaire général de l'Onu en 2023 à l’occasion de cette journée, « Les sonnettes d'alarme sonnaient déjà en 1933, mais trop peu ont pris la peine d'écouter, et encore moins en ont parlé … Aujourd’hui, des échos de ce chant des sirènes de la haine reviennent résonner à nos oreilles …il y a un mépris croissant pour les droits de l'homme et un mépris pour l'État de droit, alors que des idéologies suprématistes blanches et néonazies sont « en plein essor », et que la négation de l'Holocauste et le révisionnisme, l'antisémitisme, la misogynie, ainsi que d'autres formes de sectarisme religieux et de haine, sont en hausse".


Il est grand temps que les déclarations du secrétaire général de l’ONU et les résolutions des Nations Unies soient entendues, respectées et appliquées.

Il est évident que la société civile et l’opinion publique ont un rôle déterminant à jouer pour cela. . C’est tout le sens des actions du Mouvement de la Paix pour que l’ONU en appelle au soutien de « Nous les peuples », via une pétition mondiale, pour faire cesser le désastre dans la bande de gaza et trouver une issue diplomatique pour une paix juste et durable entre israéliens et palestiniens. Il y a urgence pour obtenir un cessez- le feu immédiat dans la bande de gaza où les bombardements et les combats ont déjà provoqués plus de 24000 morts et des dizaines de milliers de blessés dans le cadre d’un processus de guerre ayant une dimension génocidaire.
C’est aussi pourquoi nous appelons à faire connaitre et à soutenir, dans l’action, les décisions de la Cour Internationale de la Haye (cf notre déclaration du 26 janvier 2024).

 

Le Mouvement de la Paix

 


mercredi 24 janvier 2024

 


Il est urgent de changer de politique pour défendre notre souveraineté alimentaire et

protéger nos agriculteurs face à l’inflation et la concurrence déloyale des traités de libre

échange.

 C’est pourquoi nous soutenons les agriculteurs en colère. Le gouvernement doit les entendre et les respecter.

Pris en étau entre l’industrie agroalimentaire et la grande distribution, les travailleurs de la terre sont au bord de l’asphyxie. Les agriculteurs voient bien l'impuissance des lois EGALIM à modifier les rapports de force dans la construction des prix, en l'absence d'une intervention directe de la puissance publique, toujours refusée par le pouvoir alors qu’elle est défendue depuis très longtemps par les communistes. D’après l’Observatoire de la formation des prix et des marges (OFPM), l’agriculture ne reçoit que 10% de la valeur ajoutée agroalimentaire.

Et comme si cela ne suffisait pas, la profession n’en peut plus de voir ses coûts de production flamber plus vite que n’augmente le prix payé au producteur. Par exemple, l’Institut de l’élevage indique que le prix du lait de vache a baissé de 15 à 20 €/ 1000 L sur le dernier trimestre 2023 alors que le prix des intrants s’est maintenu. Le prix du gazole non routier s’établit à des niveaux très hauts, ne passant guère en dessous des 1 100 €/1 000 litres depuis un an. Cette situation va s’aggraver si la suppression de la détaxe – à laquelle se sont opposés les parlementaires communistes mais imposé par le gouvernement via le 49-3– voit le jour. Nous demandons le maintien de la détaxe sur le gazole non routier

Dans une situation où les prix ne couvrent pas les coûts de production, il est impossible de vivre de son travail et d’engager les investissements que nécessitent l’urgente transformation

agroécologique. En effet, la réintroduction de l’élevage dans les régions de grandes cultures,

l’allongement des rotations ou encore la plantation de haies demandent de se projeter sur le

temps long. Comment y parvenir quand on a aucune visibilité sur le prix de vente, livré au bon vouloir des forces d’argent ? Il est urgent de donner un horizon aux producteurs et de leur assurer un revenu décent. A quoi bon se lever le matin si ce n’est pas le travail qui fait le revenu mais les subventions publiques ?

Avec Léon Deffontaines, tête de liste aux élections européennes et André Chassaigne, député, nous demandons une toute autre répartition des fonds européens, avec des critères visant à reconstruire notre souveraineté alimentaire avec l’objectif de retrouver en France 500 000 agriculteurs et agricultrices d’ici 2030, correctement rémunérés, tout en accompagnant les transformations agroécologiques des pratiques agricoles.

Mettons cet argent public au profit d’une ambitieuse politique d’intervention publique sur les prix et les volumes. Il faut que le travail paye, et cela demande d’extraire la formation des prix des mécanismes de marché et de filières qui étranglent le producteur. C’est à l’Etat, avec les professionnels, d’instaurer des prix rémunérateurs, des filets de sécurité publics, des mesures de régulation des marchés et d’agir sur la façon dont se répartit la valeur ajoutée. Ainsi, le juste prix n’est pas qu’une émission télévisée, c’est aussi un combat de société visant à reprendre la main sur notre souveraineté alimentaire aujourd’hui déléguée aux marchés et à un quatuor de centrales d’achat.

Nous préférons la coopération internationale aux funestes traités de libre-échange dont le seul but est de mettre en concurrence les agricultures mondiales. Nous proposons de mettre en place des conférences permanentes territoriales, associant des représentants de la profession agricole, des industriels, des distributeurs, mais aussi les pouvoirs publics et de la société civile.

Ces conférences auraient pour but de déterminer un prix d’objectif, soit un prix d’achat des

produits agricoles couvrant les coûts de production et rémunérant dignement l’agriculteur.

Pour les communistes, les modalités de répartition de la valeur ajoutée agroalimentaire doivent être renversées en vue d’accroître le prix payé au producteur plutôt que de conforter les profits des industriels et distributeurs.

Fabien Roussel, secrétaire national du PCF et député du Nord,

Paris, le 20 janvier 2024


lundi 15 janvier 2024

 Les communistes de la section de POISSY/ ST GERMAIN 
Nous étions à la grande et belle manifestation pour la Palestine samedi 14 janvier.
De plus en plus de participants pour exiger l'arrêt des massacres,
un cessez-le-feu immédiat et durable.








lundi 8 janvier 2024

 







Le 21 janvier 2024

Il serait faux de dire qu’Emmanuel Macron ne coalise pas.

 

Seulement, le chef de l’État agrège contre lui, ses choix politiques et ses compromissions avec une droite qui n’a plus de républicaine que le nom et une extrême droite revendiquant sa « victoire idéologique ».

 

Preuve en est avec l’appel à manifester, le 21 janvier prochain, contre sa récente loi immigration, que l’Humanité copublie avec le site d’informations Mediapart.

 

Au total, ce sont plus de 200 personnalités qui entrent ainsi en résistance devant ce « tournant dangereux de notre République » et un texte rédigé « sous la dictée des marchands de haine qui rêvent d’imposer à la France leur projet de « préférence nationale » ».

 

Un « appel historique », selon le secrétaire national du PCF Fabien Roussel, signataire du texte, puisqu’il rassemble amplement, au-delà des frontières de la gauche.

Ce front du rejet unit du coordinateur de la France insoumise Manuel Bompard à l’ancien ministre de Jacques Chirac et ex-défenseur des droits, Jacques Toubon, en passant par Marine Tondelier (Les Écologistes), Olivier Faure (PS), Benjamin Saint-Huile (Liot) ainsi que la députée apparentée Renaissance, Cécile Rilhac.

 

Mais il s’étend aussi en dehors des sphères politiques partisanes avec les représentants des principales centrales syndicales, dont Sophie Binet (CGT) et Marylise Léon (CFDT), des responsables associatifs comme Dominique Sopo (SOS Racisme), Henri Masson (Cimade) et Véronique Devise (Secours Catholique), des artistes (Josiane Balasko, Nicolas Mathieu, Marina Foïs…), des universitaires et intellectuels émérites (Valérie Masson-Delmotte, Cédric Villani, Pierre Rosanvallon…), et même des personnalités des trois grandes religions monothéistes.

 

« Si on veut mener le combat prioritaire des valeurs, contre l’extrême droite, il faut un large rassemblement, dépassant les différences politiques et d’engagement.

Nous condamnons cette loi parce qu’elle porte atteinte à beaucoup de fondamentaux de notre République et de notre devise », rappelle Patrick Baudouin, président de la Ligue des droits de l’Homme.

 

L’initiative, née au lendemain du vote de la loi immigration à l’Assemblée nationale le 19 décembre, aboutit autour d’un objectif : rassembler un maximum de personnes dans les rues pour demander à Emmanuel Macron la non-promulgation du texte. « Le président de la République a tout fait pour que cette loi soit « adoptée » avant les fêtes de fin d’année pour qu’on n’en parle plus, explique Fabien Roussel. 

Mais beaucoup de gens m’ont interpellé pour savoir comment nous allions réagir contre cette loi votée par le RN et qui n’apporte pas les réponses aux grands enjeux liés à l’immigration. »

« C’est un moment de clarification : cette loi est un révélateur, une frontière claire entre celles et ceux prêts à basculer et renier le programme du Conseil national de la Résistance jusqu’à reprendre les thèses de l’extrême droite, et les autres », estime la secrétaire générale de la CGT, Sophie Binet.

 

Fin de l’universalité des droits, introduction de la préférence nationale, remise en cause du droit du sol, restriction de l’accès au séjour…

 

La députée de l’aile gauche de la Macronie Cécile Rilhac a tranché : « Ce texte grandement issu du Sénat est allé trop loin.

J’ai beaucoup réfléchi et je voulais être en cohérence avec moi-même (en signant la tribune – NDLR).

Il me paraissait important qu’au sein de la majorité à laquelle je suis toujours attachée, des gens continuent à dire que la loi n’est pas celle du gouvernement pour laquelle nous voulions légiférer. »

« Sous une apparence banale, ce texte me paraît, pour l’une des premières fois, mettre en cause des principes importants, des libertés et des droits sociaux dont tout le monde doit pouvoir jouir sur notre territoire, qu’ils soient nationaux ou étrangers. Savoir si nous allons installer un système de préférence nationale me paraît valoir une prise de position », justifie Jacques Toubon.

 

« Il faut que nous soyons nombreux le 21 pour faire en sorte de protéger les potentielles victimes de ce texte », espère Marine Tondelier.

Il s’agit là d’un enjeu important « pour remettre des points de repères dans le débat public face à l’obsession ethnicisante d’une partie du monde politique », selon Dominique Sopo, président de SOS Racisme.

 

D’où le mot d’ordre de la manifestation du 21 janvier : « Marchons pour la Liberté, l’Égalité, la Fraternité ».

 

Marchons pour la Liberté, l’égalité, la fraternité

 

Dans notre diversité d’idées, d’engagements, de professions, nous exprimons notre grande inquiétude après le vote de la loi dite « asile-immigration ».

C’est un tournant dangereux dans l’histoire de notre République.

 

D’abord parce que cette loi ne répond pas aux causes de l’exil forcé d’hommes, de femmes, d’enfants fuyant les guerres ou le réchauffement climatique, ni aux défis de l’accueil dans la dignité, ni au défi de la définition d’une politique digne et humaine d’intégration.

 

Ensuite, parce qu’elle a été rédigée sous la dictée des marchands de haine qui rêvent d’imposer à la France leur projet de « préférence nationale ».

Elle torpille les piliers porteurs de notre pacte républicain, hérité du Conseil national de la Résistance.

Elle s’attaque ainsi au droit du sol autant qu’aux droits fondamentaux proclamés par la Constitution : au travail, à l’éducation, au logement, à la santé…

Ce faisant, tous et toutes, Français autant qu’étrangers, nous nous trouvons menacés.

Victor Hugo écrivait : « Étouffez toutes les haines, éloignez tous les ressentiments, soyez unis, vous serez invincibles. »

 

Soucieux de rassemblement et de solidarité plutôt que de division sans fin de notre société, nous demandons au Président de la République de ne pas promulguer cette loi.

 

Le dimanche 21 janvier nous appelons à manifester dans notre diversité notre attachement à la devise de la République : « Liberté, égalité, fraternité. »

 


vendredi 5 janvier 2024

 


1)    Unité du monde du travail et la boussole des communistes. Remettre la lutte des classes au centre du débat

2)    Transport de marchandises : pour le retour de l’Etat stratège

3)    Loi immigration : un désastre pour les étudiants étrangers et les universités

4)    Réforme du contrôle de la sûreté nucléaire et de la radioprotection, il faut des moyens humains et financiers !

5)    Loi immigration, le sort des étudiant·e·s étranger·e·s toujours sur la table

6)    Les communistes toujours mobilisés contre la galère dans les transports !

7)    Solidaires de Cuba comme Cuba est solidaire des autres peuples

8)    Contre la dette à perpète. Éric Bocquet en appelle à la fin de la tutelle de la finance

9)    Loi immigration : "Ne rajoutez pas le déshonneur à la compromission !"

10) Qui peut se satisfaire de voir son pays sombrer dans une crise politique autour de l’immigration ?

11) Casino : L’État doit agir et permettre au groupe de sortir des logiques financières mortifères

12) Chili : le PCF se félicite du rejet de la constitution d’extrême droite

13) Élargissement de l’Union Européenne, le choix du pire

14) Leasing social, bonus écologique : beaucoup de com pour pas grand-chose. Il faut une vraie réforme pour changer

15) COP 28 : mobiliser mieux et davantage les financements pour gagner la bataille pour le climat  

16) Bruxelles : des milliers de manifestant·es venu·es de toute l’Europe pour dire non à l’austérité

17) Un parti toujours plus féministe

18) La psychiatrie ne peut être le bouc-émissaire des failles de la lutte anti-terroriste !

19) Recherche et université : un président qui s’enfonce dans une politique de l’échec

20) Traité sur l'interdiction des armes nucléaires (TIAN) – Une lueur dans un ciel bien sombre

21) Un service public de La Poste pour le pluralisme de la presse.

 

Ce sont autant de sujets de discussion que l’on peut retrouver sur

le site  « pcf.fr » dans la rubrique actualités.



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