Nadine THOMAS Louis MEHAY
Suppléante Titulaire
Pour s’opposer à la mise à mort programmée de la démocratie locale, il faut des élus déterminés,
Des élus du Front de Gauche !
Les compétences de l’Assemblée départementale où siègent les Conseillers Généraux sont multiples et touchent à la vie quotidienne des citoyens : logement, éducation, santé, enfance et petite enfance, crèche, PMI, prévention à la délinquance, jeunesse, aide aux personnes en difficulté, aux personnes âgées, aux handicapés, mais aussi les transports, les infrastructures routières, l'environnement, la vie culturelle.
Or ces compétences sont aujourd’hui gravement menacées. Financièrement d’années en années les marges de manœuvre des collectivités territoriales et notamment des Assemblées départementales se réduisent. Les dotations ne sont plus réévaluées au véritable coût de la vie, les enveloppes normées ne reposent plus sur aucune base concrète, les allocations compensatrices se réduisent de plus en plus. Résultat au Conseil général des Yvelines des budgets comme le sport, la culture ou la vie associative… sont réduits soit en investissement soit en fonctionnement (voire les deux).
Au final c’est donc encore les plus pauvres, les territoires où habitent les plus défavorisés qui font les frais de cette politique initiée par Nicolas SARKOZY et ses amis de l’UMP.
Avec le projet de réforme Balladur, la suppression de la taxe professionnelle… le danger qui pèse sur l’avenir des collectivités locales est encore plus grand, leur autonomie politique et fiscale, leur capacité à répondre, dans la proximité, aux besoins des populations sont carrément remis en cause.
Cette politique est fondée aussi sur l’idée qu’il faudrait réduire les dépenses publiques. Mais pour combattre la récession c’est bien le contraire qu’il faut faire. Le rôle que jouent les départements notamment pour les investissements est énorme. Pour celui des Yvelines cela représente plusieurs milliers d’emplois !
Le Front de gauche contre les licenciements boursiers
Pour des pouvoirs nouveaux aux salariés
Les géants de l’industrie, des services ou de la finance annoncent des bénéfices considérables et distribuent plusieurs centaines de millions d’euros de dividendes à leurs actionnaires.
PPR, le groupe de François Pinault, s’apprête à verser près de la moitié des 924 millions d’euros des bénéfices réalisés en 2008 à ses actionnaires et envisage en même temps de supprimer quelque 1 900 emplois à La Redoute, à la FNAC et chez Conforama.
Nicolas Sarkozy, de son côté prête de l’argent public aux deux grands constructeurs automobiles français sans exiger de véritables contreparties en matière d’emploi, de salaires et de formation. Renault et PSA ont ainsi empoché 6 milliards d’euros et maintenu la suppression des 4 450 suppressions d’emplois prévues par l’un et les 3 350 décidées par l’autre en France.
Face à cette déferlante de licenciements, le 28 mai, les parlementaires communistes défendront à l’assemblée nationale, trois projets de lois visant à interdire les licenciements boursiers, abroger le bouclier fiscal et défendre un vrai plan de relance contre la crise.
Nous voulons que, dans les plans sociaux, les institutions représentatives du personnel bénéficient d’un droit suspensif des licenciements, pour étudier vraiment toutes les alternatives et mettre les actionnaires, les dirigeants et les pouvoirs publics face à leurs responsabilités.
Il faut dresser des barrages sur toutes les voies qui conduisent au chômage et s’attaquer à la cause essentielle de cet acharnement contre l’emploi : la croissance financière des capitaux, l’argent pour l’argent. Cela suppose donc que les salariés et les populations puissent disposer d’un pouvoir de contrôle et de décision au sein des réseaux de l’argent dans et hors des entreprises, notamment dans les institutions financières et les banques afin d’orienter les ressources tout autrement.
La mission des candidats du Front de gauche sera d’être les interprètes de vos besoins et de vos choix, de traduire votre volonté de changement et d’espoir pour mettre en oeuvre une autre politique, une politique résolument de gauche.
S’ils sont élus, Louis MEHAY et Nadine THOMAS sa suppléante, vous rendront compte régulièrement des réformes appliquées au Conseil Général, ils vous consulteront, ils vous demanderont votre avis afin d’être au plus près de vos préoccupations et revendications tout au long de leur mandat.
Titulaire : Louis MEHAY 47 ans, père de 2 enfants, vit depuis sa naissance dans le canton, Conseiller municipal à Poissy. Ouvrier fraiseur-outilleur, syndicaliste.
Suppléante : Nadine THOMAS 53 ans, mère d’un enfant, ouvrière opératrice de conditionnement, syndicaliste.
Pour nous contacter :
http://pcfpoissyboucledeseine.blogspot.com/ pg78@lepartidegauche.fr
pcf78@wanadoo.fr http://www.pcf.fr/ http://www.lepartidegauche.fr/
Tél. : 01 30 50 03 56 ou 06 09 42 85 76
Suppléante Titulaire
Pour s’opposer à la mise à mort programmée de la démocratie locale, il faut des élus déterminés,
Des élus du Front de Gauche !
Les compétences de l’Assemblée départementale où siègent les Conseillers Généraux sont multiples et touchent à la vie quotidienne des citoyens : logement, éducation, santé, enfance et petite enfance, crèche, PMI, prévention à la délinquance, jeunesse, aide aux personnes en difficulté, aux personnes âgées, aux handicapés, mais aussi les transports, les infrastructures routières, l'environnement, la vie culturelle.
Or ces compétences sont aujourd’hui gravement menacées. Financièrement d’années en années les marges de manœuvre des collectivités territoriales et notamment des Assemblées départementales se réduisent. Les dotations ne sont plus réévaluées au véritable coût de la vie, les enveloppes normées ne reposent plus sur aucune base concrète, les allocations compensatrices se réduisent de plus en plus. Résultat au Conseil général des Yvelines des budgets comme le sport, la culture ou la vie associative… sont réduits soit en investissement soit en fonctionnement (voire les deux).
Au final c’est donc encore les plus pauvres, les territoires où habitent les plus défavorisés qui font les frais de cette politique initiée par Nicolas SARKOZY et ses amis de l’UMP.
Avec le projet de réforme Balladur, la suppression de la taxe professionnelle… le danger qui pèse sur l’avenir des collectivités locales est encore plus grand, leur autonomie politique et fiscale, leur capacité à répondre, dans la proximité, aux besoins des populations sont carrément remis en cause.
Cette politique est fondée aussi sur l’idée qu’il faudrait réduire les dépenses publiques. Mais pour combattre la récession c’est bien le contraire qu’il faut faire. Le rôle que jouent les départements notamment pour les investissements est énorme. Pour celui des Yvelines cela représente plusieurs milliers d’emplois !
Le Front de gauche contre les licenciements boursiers
Pour des pouvoirs nouveaux aux salariés
Les géants de l’industrie, des services ou de la finance annoncent des bénéfices considérables et distribuent plusieurs centaines de millions d’euros de dividendes à leurs actionnaires.
PPR, le groupe de François Pinault, s’apprête à verser près de la moitié des 924 millions d’euros des bénéfices réalisés en 2008 à ses actionnaires et envisage en même temps de supprimer quelque 1 900 emplois à La Redoute, à la FNAC et chez Conforama.
Nicolas Sarkozy, de son côté prête de l’argent public aux deux grands constructeurs automobiles français sans exiger de véritables contreparties en matière d’emploi, de salaires et de formation. Renault et PSA ont ainsi empoché 6 milliards d’euros et maintenu la suppression des 4 450 suppressions d’emplois prévues par l’un et les 3 350 décidées par l’autre en France.
Face à cette déferlante de licenciements, le 28 mai, les parlementaires communistes défendront à l’assemblée nationale, trois projets de lois visant à interdire les licenciements boursiers, abroger le bouclier fiscal et défendre un vrai plan de relance contre la crise.
Nous voulons que, dans les plans sociaux, les institutions représentatives du personnel bénéficient d’un droit suspensif des licenciements, pour étudier vraiment toutes les alternatives et mettre les actionnaires, les dirigeants et les pouvoirs publics face à leurs responsabilités.
Il faut dresser des barrages sur toutes les voies qui conduisent au chômage et s’attaquer à la cause essentielle de cet acharnement contre l’emploi : la croissance financière des capitaux, l’argent pour l’argent. Cela suppose donc que les salariés et les populations puissent disposer d’un pouvoir de contrôle et de décision au sein des réseaux de l’argent dans et hors des entreprises, notamment dans les institutions financières et les banques afin d’orienter les ressources tout autrement.
La mission des candidats du Front de gauche sera d’être les interprètes de vos besoins et de vos choix, de traduire votre volonté de changement et d’espoir pour mettre en oeuvre une autre politique, une politique résolument de gauche.
S’ils sont élus, Louis MEHAY et Nadine THOMAS sa suppléante, vous rendront compte régulièrement des réformes appliquées au Conseil Général, ils vous consulteront, ils vous demanderont votre avis afin d’être au plus près de vos préoccupations et revendications tout au long de leur mandat.
Titulaire : Louis MEHAY 47 ans, père de 2 enfants, vit depuis sa naissance dans le canton, Conseiller municipal à Poissy. Ouvrier fraiseur-outilleur, syndicaliste.
Suppléante : Nadine THOMAS 53 ans, mère d’un enfant, ouvrière opératrice de conditionnement, syndicaliste.
Pour nous contacter :
http://pcfpoissyboucledeseine.blogspot.com/ pg78@lepartidegauche.fr
pcf78@wanadoo.fr http://www.pcf.fr/ http://www.lepartidegauche.fr/
Tél. : 01 30 50 03 56 ou 06 09 42 85 76