Travailleur·ses, jeunes et étudiant·e·s ou retraité·e·s, nous sommes, en France et dans le monde, les principales victimes de la crise sanitaire et sociale. Nous sommes également les premier·e·s à espérer en sortir le plus vite possible.
Mais l’épidémie n’est pas le seul problème ! Elle n'est pas responsable des licenciements ou des délocalisations, ce n’est pas elle qui réduit chaque jour un peu plus les dépenses publiques et les investissements.
Dans sa course effrénée vers toujours plus de profits, le capitalisme s'attaque tous les jours à notre modèle social, héritage de la Résistance et de nos luttes passées. La casse des hôpitaux, le démantèlement progressif des services publics, les réformes successives du pouvoir, comme celle récente de l'assurance chômage, nous prouvent tous les jours la nécessité de remettre en cause ce système à bout de souffle.
Nos luttes sont des points d'appuis décisifs. Nos mobilisations ont contraint le gouvernement à différer sa réforme des retraites, elles résistent à sa volonté de réduire les droits des chômeurs, de privatiser la production d'énergie. Que ce 1er mai soit un tremplin pour les amplifier.
Pour montrer notre détermination à lutter contre les politiques mortifères du gouvernement et pour que viennent à nouveaux les Jours Heureux, soyons nombreuses et nombreux à la manifestation du 1er mai, journée de lutte pour les droits des travailleurs·euses !
La manifestation partira à 14h de la place de la République en direction de la place de la Nation.
Le point de rendez-vous et de mobilisation du PCF est fixé à partir de 12h,
à l'angle du BOULEVARD VOLTAIRE et de la RUE JEAN-PIERRE TIMBAUD
(proche des stations : Oberkampf (lignes 5 & 9) et République (lignes 3, 5, 8, 9 & 11))
Apportez vos drapeaux !
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